«Nous avons déjà annoncé que, malgré plusieurs changements dans le délai de livraison, l’accord est en voie d’application et je dois aujourd’hui annoncer que la première partie de l’équipement est arrivée en Iran ; le déploiement de la partie restante se poursuivra», a fait savoir aux journalistes le porte-parole du ministère, Jaberi Ansari.
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Il a indiqué que la livraison avait été opérée via la mer Caspienne, qui joue le rôle de frontière entre les deux pays.
La vente par la Russie de missiles S-300 à l’Iran a une histoire chaotique. L’accord avait été d'abord signé en 2007 mais suspendu par la Russie sous la pression des Etats-Unis et d’Israël. Moscou avait estimé que la livraison déstabiliserait la sécurité régionale, à une époque où Téhéran était accusé d’avoir un programme clandestin d’armement nucléaire.
Le contrat a été relancé l’année dernière après la signature par l’Iran et six puissances mondiales d'un accord sur le nucléaire répondant aux inquiétudes autour quant aux ambitions nucléaires de l’Iran.
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