Dans une interview donnée à la chaîne américaine MSNBC, le candidat à l’investiture républicaine a affirmé qu’il ne se «priverait jamais» de l’option nucléaire, et cela «pour personne», que ce soit à destination du Moyen-Orient, ou encore de l’Europe.
Cette déclaration intervient alors que s’est déroulé, du 31 mars au 1er avril, le quatrième sommet international sur la sécurité nucléaire, à Washington.
La question du terrorisme nucléaire, qui selon l'Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) est devenu une «menace bien réelle» a été le sujet dominant de ce sommet. Les attentats de Bruxelles ont relancé le débat sur la sécurité des installations nucléaires, notamment après qu'il a été révélé que des centrales nucléaires belges auraient pu être la cible initiale des terroristes.