«Ces parrainages du coup stoppent un débat : je serai candidat quoiqu'il arrive et quelque coup de téléphone qu'on veuille me passer», a déclaré le candidat de la France insoumise devant la presse le 12 janvier, alors qu'il annonçait disposer des 500 signatures nécessaires à sa candidature à l'élection présidentielle... et même de 17 supplémentaires.
Dans un clin d’œil aux communistes, qui ont voté en novembre 2016 leur ralliement à sa candidature en se réservant le droit de soutenir une candidature issue de la primaire de la gauche le cas échéant, Jean-Luc Mélenchon a donc affirmé qu'il irait jusqu'au bout et ne rallierait personne.
En position de force dans les sondages, qui le placent systématiquement devant le candidat du PS, quel que soit son nom, le chef de file du mouvement de la France insoumise a le vent en poupe et officialise sa candidature définitive à quelques jours de la primaire de la gauche des 15 et 22 janvier prochains.
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