Le co-fondateur du légendaire groupe de rock progressif Pink Floyd a évoqué la candidate démocrate dans un entretien au magazine américain Rolling Stone. «Il y quelque chose d’effroyablement va-t-en-guerre en elle», a-t-il affirmé, ajoutant qu’il s’inquiétait «terriblement qu’elle devienne la première (seule) femme présidente à pouvoir larguer une p***** de bombe nucléaire sur quelqu’un».
Il a en outre affiché son soutien à Bernie Sanders, le rival de Clinton dans la course à l’investiture du parti aux présidentielles de 2016. D’après le site Real Clear, qui combine les différents sondages publiés par les médias américains, Hillary serait largement favorite dans son camp, avec 48,2% des intentions de vote démocrates, alors que Bernie Sanders ne pointerait qu'à 25,4%.
Sur la scène musicale US, ce dernier bénéficie du soutien du chanteur alternatif Neil Young, alors que Clinton peut compter sur la chanteuse pop Katy Perry, qui s'est d'ailleurs produite ce samedi à un meeting de la candidate. Quant à Roger Waters, malgré ses prises de position, il ne bénéficie pas du droit de vote aux Etats-Unis puisqu’il y réside en tant que citoyen britannique.
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