Les ministres français et allemand des Affaires étrangères se sont fendus le 7 octobre d'un communiqué commun estimant qu’il «n’existe pas d’autre explication plausible à l’empoisonnement de M. Navalny qu’une responsabilité et une implication russes».
France et Allemagne vont en outre transmettre à «leurs partenaires européens des propositions de sanctions supplémentaires», ajoutent les deux ministres, précisant que ces propositions «viseront les personnes jugées responsables de ce crime et de la violation des normes internationales [...] ainsi qu'une entité participant au programme Novitchok».