Est-ce une nouvelle forme de dopage ? Hugo Lloris s'est permis, en quart de finale de Coupe du monde contre l'Uruguay le 6 juillet, de croquer une libellule, «strikaza» en russe, avant de la recracher. Ce petit insecte qui se promenait innocemment dans le stade de Nijni Novgorod, a donc fait office de remontant pour le footballeur. Un épisode fort cocasse que certains internautes n'ont pas manqué de relever. Alors que l'équipe de France a, durant ce match, marqué à deux reprises et encaissé aucun but, un utilisateur de Twitter souligne que «même les libellules ne franchissent pas la ligne».
Un autre s'est amusé de voir Hugo Lloris participer à la célèbre émission de télé-réalité Koh-Lanta.
L'humoriste Kheiron a développé une «théorie» : «La libellule a eu le temps de piquer Hugo Loris et de lui transmettre ses capacités. Ça se tient y a déjà eu des précédents.»
Un autre internaute a fait un parallèle entre l'arrêt déterminant du gardien à la 44e minute et la libellule : «Hugo Lloris il bouffe une libellule, il se met à voler.»
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