International

Qui se cache donc derrière la vague de froid s’abattant sur l'Europe ? Twitter a la réponse...

Dès le 25 février, l'hiver deviendra encore plus rude en France, avec une nouvelle chute du mercure, due à un phénomène appelé le «Moscou-Paris», un grand froid venu de Sibérie. Mais des internautes facétieux ont décelé sa véritable origine...

Encore un coup des Russes ?! Si le journal allemand Bild pensait récemment prouver une ingérence russe dans la politique allemande en se basant sur un canular, en France, des internautes semblent avoir démasqué un assaut du Kremlin contre l'Europe de l'Ouest tout entière. Et pas des moindres : la fameuse vague de froid Moscou-Paris. Venue de Sibérie, celle-ci doit s'abattre sur la France dès le 25 février, provoquant une nouvelle chute des températures : en début de semaine, elles devraient ainsi atteindre jusqu'à -10°C, soit jusqu'à 11 degrés en-dessous des normales, selon l'AFP.

Un phénomène pour le moins inquiétant, et comme par hasard originaire de Russie, comme ne manquent pas de le souligner des internautes vigilants. «Vague de froid : Venue de Moscou, on a enfin la preuve de l'ingérence russe», proclame ainsi un utilisateur de Twitter, qui ne perd pas le nord. 

Validant cette ingénieuse théorie, un autre internaute se pose légitimement la question de savoir ce que font les services de «contre-espionnage» français face à cette menace climatique russe...

Poutine a dû passer un pacte avec le diable. Espérons que Paris répliquera en leur envoyant un ouragan depuis l'Elysée

France Info rappelle sur les réseaux sociaux que la masse d'air froid provient de Moscou ? Un internaute, au fait des arcanes du pouvoir, lit entre les lignes : «Moscou (sous-entendu le Kremlin) nous envoie une vague de froid terrible et sans précédent. Poutine a dû passer un pacte avec le diable. Espérons que Paris répliquera en leur envoyant un ouragan depuis l'Elysée».

L'identité du chef d'orchestre de cette attaque thermique n'échappe pas non plus au journaliste Jack Dion, de Marianne : «Un coup de ce diable de Poutine», pour sûr. «On s’étonne que l’Union Européenne n’ait pris aucune nouvelle sanction contre la Russie en riposte à cette agression délibérée du Kremlin», poursuit-il, narquois.

Face à la multiplication de ces éléments troublants, ni l'Elysée, ni Bruxelles, ni l'OTAN, ni Washington n'ont encore réagi...

Lire aussi : Un Parisien fait du ski sur les marches du Palais de Chaillot