«Ça n’a jamais été mon intention que ça devienne romantique. C’était juste unir nos forces pour faire quelque chose d’important. Mais des choses arrivent, vous savez. Il est formidable… J’ai toujours pensé que je ferais une bonne première dame. Si je devais choisir un leader mondial pour faire ma vie, ce serait Julian Assange», a récemment déclaré Pamela Anderson dans l’émission de radio australienne Kyle and Jackie O Show.
L’ancienne star de la série Alerte à Malibu, reconvertie dans des causes comme la défense des animaux ou l'aide aux réfugiés, répondait aux journalistes qui lui demandaient si elle avait embrassé le fondateur de WikiLeaks.
Il y a quelques jours, la rubrique people du journal américain New York Post, Page Six, avait rapporté que la célèbre blonde avait rendu visite plusieurs fois à Julian Assange, dans «des tenues toujours plus sexy», à l’ambassade d’Equateur, à Londres.
Le fondateur de WikiLeaks y est réfugié depuis juin 2012, après avoir divulgué, via son organisation, des centaines de milliers de documents confidentiels, concernant notamment la diplomatie américaine.
Lors de son passage dans l'émission australienne, Pamela Anderson a par ailleurs qualifié de «ridicules» les accusations de viol qui pèsent sur Julian Assange en Suède, appelant à le «soutenir».
Dans une interview à RT, elle avait auparavant estimé : la Suède «a des lois très progressistes contre les crimes sexuels […] Elles sont presque trop progressistes, presque paralysantes […] En fait, je vais lancer une campagne pour les hommes qui ont été victimes d’accusations de viol alors qu’ils n’ont en fait rien fait.»