«Une histoire risible», le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov, s'en est directement pris au New York Times lors d'un conférence de presse mercredi 15 février. «Ne croyons pas des informations anonymes», a déclaré le responsable russe, mettant au défi le journal américain de prouver des allégations qui ne sont «basées sur aucun fait».
Le New York Times, dont l'actionnaire majoritaire est le milliardaire Carlos Sim – fervent soutien d'Hillary Clinton – a en effet porté de nouvelles accusations à l'encontre des proches de Donald Trump.
Dans un article publié le 14 février, le quotidien cite quatre responsables américains de façon anonyme, actuels et anciens précise précise t-il cependant, qui font état de communications entre l'équipe de campagne du président en exercice et des espions russes, durant l'année précédent l'élection.
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