«Si quelqu'un ne parvient pas à gérer un compte Twitter, il ne peut guère gérer les codes nucléaires», a lancé, taquin, le président américain Barack Obama à l'adresse de Donald Trump, lors d'un discours de soutien à Hillary Clinton le 6 novembre à Kissimmee, en Floride.
«Apparemment, les membres de son équipe de campagne ont confisqué son compte Twitter. Au cours des deux derniers jours, ils avaient si peu de confiance en sa capacité à se contrôler, qu'ils se sont dits : "Nous allons lui retirer son compte Twitter"», a souligné, devant un public hilare, celui qui s'apprête à laisser sa place à la Maison Blanche.
La pique en question faisait référence à une anecdote rapportée le même jour par le New York Times : l'équipe chargée des relations presse du candidat républicain, affirmait le journal américain, a pris le contrôle total de son compte Twitter, craignant vraisemblablement que le milliardaire ne tweete quelque propos polémiques à deux jours du scrutin.
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