Le magazine allemand Der Spiegel rapporte le 4 novembre que des procureurs munichois enquêtent sur Mark Zuckerberg, sa collaboratrice Sheryl Sandberg, et d’autres membres du réseau social, accusés de ne pas supprimer les messages incitant à la haine, même après en avoir pris connaissance.
Une plainte à ce sujet a en effet été déposée par l’avocat allemand Chan-jo Jun.
Dans un communiqué de presse, le réseau social nie les accusations : «Il n’y a pas eu de violation de la loi allemande par Facebook ou ses employés. Il n’y a pas de place pour la haine sur Facebook. Nous travaillons avec nos partenaires pour combattre les discours de haine et promouvoir un contre-discours.»