Dans l’un des bâtiments d’un lycée agricole de Ghouta, banlieue de la capitale syrienne, les terroristes avaient enfermé plus d’un millier de personnes qui ne voulaient pas vivre selon les règles décrétées par les islamistes radicaux. La plupart des prisonniers fournissaient la main d’œuvre nécessaire pour creuser des tunnels et construire des fortifications.
Selon les militaires syriens, les personnes emprisonnées vivaient dans des conditions inhumaines, aucune cellule ne répondant aux standards sanitaires minimaux.
La prison appartenait au groupe terroriste Jaysh al-Islam qui, aux yeux de l’Occident, fait partie de l’opposition syrienne modérée.