Une partie des pays qui participent aux négociations sur la crise en Syrie a vivement réagi à l’aboutissement des négociations à Munich. L’Allemagne, le Canada, les Etats-Unis et l'ONU ont salué la conclusion de l’accord.
Cependant, d’autres personnalités importantes, comme le Premier ministre russe Dmitri Medvedev, on noté que le conflit en Syrie a avait été créé facilement mais qu'il était maintenant difficile d'y mettre un terme.
D'autres, comme le ministre britannique des Affaires étrangères Philip Hammond, ont encore une fois demandé au gouvernement syrien de changer son comportement. Le président français François Hollande est allé plus loin, jusqu'à insister sur le départ du président syrien Bachar el-Assad.