La décision a été prise par l’envoyé spécial de l’ONU Staffan de Mistura, qui a indiqué que de multiples questions préalables, comme l’assurance de l’accès aux livraisons d’aide humanitaire dans les villes assiégées de Syrie, rendent impossible tout progrès dans les négociations.
Jeu du blâme
La décision de l’envoyé spécial de suspendre les négociations a provoqué un tollé de déclarations et de blâmes de la part des parties impliquées. Ainsi, l’opposition et le gouvernement syrien se sont renvoyés la balle, s’accusant mutuellement de l’échec des discussions.