Marjorie Taylor Greene a annoncé sa démission via une vidéo publiée le 21 novembre sur son compté X, dénonçant les pressions dont elle estime avoir été victime. Elle a affirmé que défendre les victimes de viol et de trafic sexuel « ne devrait pas m’exposer à être appelée traître et menacée par le président des États-Unis, pour lequel je me suis battue ».
Figure de la droite radicale et ancienne alliée de Donald Trump, l'élue de Géorgie a rappelé son engagement pour le Parti républicain : campagnes nationales, sacrifices personnels et millions dépensés de sa poche. Elle a dénoncé les attaques politiques dont elle dit avoir été victime, les qualifiant « d’absurdes et totalement irréalistes ».
Elle a également évoqué la volonté de protéger sa famille et son district d’une primaire « blessante et haineuse », avant de conclure : « Je démissionnerai de mes fonctions le 5 janvier 2026. J’ai hâte de vous revoir dans le futur. Que Dieu vous bénisse tous et que Dieu bénisse l’Amérique. »