Le perfide Tim Waltz
Quoi de mieux qu’un adultère pour enterrer son adversaire dans la présidentielle américaine ? Un adultère avec une Chinoise communiste ! Le Daily Mail a publié le 28 octobre une information selon laquelle le candidat démocrate à la vice-présidence des États-Unis Tim Walz aurait eu une liaison avec une Chinoise issue d'une famille d'apparatchiks du PCC (Parti communiste chinois). Les faits remonteraient aux années 90, lorsque Walz a visité la Chine plus de 30 fois en tant qu'enseignant. La victime des charmes de Tim Waltz, l’enseignante Jenna Wang, dit s’être manifestée maintenant parce qu'elle estime que ce dernier «s'est comporté de manière égoïste envers elle» et qu'il a mis sa réputation et sa carrière en péril par son comportement inconstant. L’ex-maîtresse supposée de l’homme politique américain s’inquièterait aussi du sort du monde: «Il s'agit d'un moment crucial de l'histoire et un homme comme lui ne semble pas avoir le caractère et l'intégrité nécessaires pour occuper l'un des postes les plus importants au monde ».
Trump l'agent triple
Qu’est-ce qui serait pire que des rumeurs d’agent d’influence russe pour Donald Trump ? La connivence avec Israël et l’Arabie saoudite par exemple. Lindy Li, membre du Comité national des finances du parti démocrate, a publié une série de messages sur X début septembre, spéculant sur une coordination potentielle entre le candidat républicain et de nombreux gouvernements étrangers. La fonctionnaire démocrate se demande notamment si Donald Trump s'ést entendu avec Netanyahou pour bloquer un cessez-le-feu afin de l'aider à remporter l'élection ou s’il conspire avec le prince héritier saoudien pour faire monter les prix de l'essence afin de l'aider à gagner. Dans cette liste figure également un accord supposé avec Poutine pour retarder la fin de la guerre en Ukraine jusqu'à la fin des élections américaines. Réfutant l’aspect complotiste de ses hypothèses, Lindy Li a martelé: «les Américains méritent des réponses».
Kamala Harris la menteuse
Grosse déception parmi les fans de Beyoncé. La megastar a exprimé son soutien à la candidate démocrate Kamala Harris mais n’a pas chanté à son rallye dans le Texas la semaine dernière. «Je ne suis pas ici en tant que célébrité, je ne suis pas ici en tant que politicienne, je suis ici en tant que mère», a lâché la star avant de quitter la scène sans s’y produire. Une bonne raison pour la campagne de Trump de se saisir de l’occasion. Les républicains ont donc accusé le QG Harris d'avoir intentionnellement induit le public en erreur. «Ils ont menti pour attirer les foules», a déclaré Tim Murtaugh, conseiller principal de M. Trump, sur X. «Promettre un concert d'une grande star de la pop qui ne s'est pas produite est la métaphore la plus parfaite de la campagne Harris que l'on puisse imaginer, sauf qu'elle s'est réellement produite», a ironiséé le conseiller.
JD Vance qui haït les femmes «sans enfants»
Le candidat à la vice-présidence républicaine JD Vance avait déjà fait objet des virulentes critiques quant à son commentaire sur «des femmes à chats sans enfants» datant de 2021. La toute-puissante chanteuse Taylor Swift avait utilisé cette même remarque dans son message de soutien à la candidate démocrate. JD Vance qui s’était toutefois excusé pour ses formulations «stupides», en a remis une couche dans une interview au New York Times mi-octobre, affirmant que les États-Unis sont devenus «presque pathologiquement anti-enfants» et qu'il est «bizarre» de ne pas avoir d'enfants en raison des inquiétudes suscitées par le changement climatique. Une série de titres peu flatteurs dans la presse n’a pas manqué de s’en suivre.