«La mosquée [située à Torcy] était devenue un lieu où étaient prônées une idéologie radicale, ainsi que des incitations au djihad. Certains prêches, ouvertement hostiles aux lois républicaines, incitaient à la haine envers les autres communautés religieuses, au premier rang desquelles les musulmans chiites et les juifs», a indiqué le ministre français de l'Intérieur, Matthias Fekl, le 11 avril selon l'AFP, pour justifier la fermeture administrative du lieu de culte.
Selon l'arrêté de fermeture de la préfecture, les deux imams ont notamment «apporté leur soutien aux fidèles de la mosquée [qui ont été] mis en cause dans la cellule terroriste dite "de Cannes-Torcy"», dont le procès doit s'ouvrir le 20 avril.