Le Parisien a eu des informations sur les analyses toxicologiques qui ont été effectués sur les neuf kamikazes. Ces expertises montrent que ces hommes «n’étaient ni drogués ni dopés ». De nombreuses hypothèses faisaient état d’une consommation de Captagon (un déviré d’amphétamines) mais aucune trace de cette drogue n’a été retrouvée.
Seules «d’infimes» traces de cannabis ont été décelés dans le sang de Brahim Abdeslam et d’alcool dans celui de Samy Amimour mais pas assez pour signifier une prise d’alcool le jour des attaques.
Le quotidien rapporte également que le sang d’Hasna Aït Boulahcen, la cousine d’Abdelhamid Abaaoud contenait des traces de cocaïne. Elle a été tuée dans l’assaut de Saint-Denis quelques jours après les attaques de Paris.
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