«En ce qui concerne la France, il y a un redressement de 1,6 milliard infligé à cette entreprise», a affirmé cette source. Interrogé par l'AFP, Bercy n'a pas souhaité confirmer cette somme, invoquant le secret fiscal.
«Le fisc français ne négocie pas le montant des impôts», avait déclaré Michel Sapin début février, faisant référence à l’accord noué, fin janvier, entre le fisc britannique et le groupe américain qui a accepté de régler 172 millions d’euros d’arriérés d’impôts remontant jusqu’en 2005.
Le géant de l'internet l'a appris à ses dépends. «Google se conforme aux législations fiscales de tous les pays dans lesquels l’entreprise opère», aurait pourtant affirmé un porte-parole cité par Les Echos.