«Nous sommes des réfugiés, nous ne sommes pas des terroristes», ont scandé plusieurs dizaines de migrants et représentants d’organisations humanitaires réunis sur la place de l'Indépendance à Rome pour demander l'annulation de la décision des autorités italiennes d’expulser quelques 800 migrants d’un bâtiment de six étages situé près de la gare centrale de Rome même s’ils l’ont habité pendant les cinq dernières années.
Sans endroit où aller, les migrants campent à l'extérieur, sur la place, entre les poubelles et les valises.