«Nous pouvons ouvrir les portes vers la Grèce et la Bulgarie à tout moment et nous pouvons mettre les réfugiés dans des bus» a menacé Erdogan, qui est le gardien d’énormes flots de gens déplacés du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord ravagés par les guerres, à moins que l’Europe fournisse un supplément de 3 milliard de dollars par an pour l’«aide» turque à l’endiguement de l’exode.