Cette découverte laisse donc croire que le terroriste était en possession d’un faux passeport. Pour l’instant, on ne sait pas si le terroriste a transité via la Grèce et la Macédoine. Selon les autorités grecques, elles avaient pris ses empreintes digitales et sa photo lors de son enregistrement, le 3 octobre. Les autorités françaises doivent vérifier que les empreintes correspondent à celles du doigt du kamikaze qu’elles ont retrouvé.
Le journal serbe Blic écrit que l’existence de ce second passeport signifie que «les deux hommes auraient acheté séparément des faux passeports syriens chez le même faussaire en Turquie».
Les responsables de l’antiterrorisme français ne connaissent pas le nom Almohammad Ahmad et n’ont pas tiré de conclusions sur la base du passeport qu’ils ont retrouvé avec ce nom sur le lieu de l’attentat à Paris.