«Nous avons évalué toutes les menaces possibles. Nous n’avons déployé uniquement des chasseurs, des avions d’assaut, des bombardiers, des hélicoptères, mais aussi des systèmes de défense antiaérienne», a confié au journal russe Komsomolskaya pravda le général Viktor Bondarev.
Il a justifié cette mesure par de possibles cas de «force majeure», tels qu’«un détournement d’avion» ou une frappe contre les forces russes en Syrie. «Nous devons y être prêts», a déclaré le commandant des forces aériennes russes.
Il faut rappeler, que le 30 octobre, un mois après le début de son opération antiterroriste en Syrie, l’état-major russe a dressé le bilan. Les avions russes ont détruit plus de 1600 objets terroristes appartenant à l’Etat islamique et au Front al-Nosra. Par ailleurs, les forces gouvernementales syriennes ont libéré environ 50 agglomérations.