Ce 5 mai a lieu la première audience d'examen des demandes d'extradition d'Italiens condamnés dans leur pays pour terrorisme. Parmi eux, d’anciens membres des Brigades rouges réfugiés en France dans les années 80 et condamnés pour des crimes de sang dans leur pays. Emmanuel Macron a décidé de régler ce litige de trente ans avec Rome en ordonnant l'arrestation de dix d'entre eux. Une opération vivement contestée par une partie de l'opposition de gauche.