Pour la première fois, le gouvernement érythréen a reconnu la présence de ses troupes dans la région du Tigré. Dans une lettre adressée au Conseil de sécurité de l’ONU, l’Erythrée a reconnu être intervenue militairement aux côtés de l’armée éthiopienne dans le conflit avec les rebelles tigréens. Mais alors que la victoire a été proclamée le 28 novembre, les troupes érythréennes seraient restées sur place et sont accusées d’avoir perpétré des massacres et des violences sexuelles.
Louis Keumayou, président du club de l'information africaine, revient sur cette question pour RT France.