D'un côté, le vaccin britannique AstraZeneca est pointé du doigt en Europe ainsi qu’aux Etats-Unis pour ses effets secondaires. Il est pourtant plébiscité par Bruxelles, qui le juge efficace. De l’autre, le vaccin russe Spoutnik V, utilisé dans 56 pays et efficace à 90% selon les dernières analyses, se heurte à des réactions hostiles en Europe.
Existe-t-il un «deux poids, deux mesures» dans le traitement accordé à ces vaccins ?