Appelés à entériner une révision constitutionnelle censée fonder une «nouvelle République», les Algériens ont massivement boycotté le 1er novembre un référendum qui s'est tenu en l'absence de son initiateur, le président Abdelmadjid Tebboune, hospitalisé en Allemagne. Kader Abderrahim, directeur de recherches à l’IPSE, revient sur ce scrutin pour RT France.