International

Assemblée générale de l'ONU : les images cocasses qu'il ne fallait pas manquer

Tandis que le marathon onusien se poursuit à New-York, les plus assidus à cet événement ont déjà eu l'occasion de se délecter de faits originaux et même parfois amusants. RT revient sur ce qu'il ne fallait pas louper.

John Kerry baille durant le discours d'Obama

Tandis que le président américain intervenait à la tribune, John Kerry a été surpris en train d'effectuer un baillement des plus appuyés. A croire que le secrétaire d'Etat américain s'ennuyait profondément. Il faut noter que le discours de Barack Obama s'est révélé particulièrement long et a duré presque 45 minutes. 

Le président de la Mongolie amuse avec sa tenue traditionelle

Le chef d'état mongole, Tsakhiagiyn Elbegdorj est monté à la tribune tout de bleu vêtu, arborant un costume traditionnel mongole et faisant esquisser quelques sourires avec cet accoutrement peu habituel.

Les selfies avec Vladimir Poutine sont à la mode

Assis sur son siège de l'Assemblée, le président russe Vladimir Poutine a attiré l'attention de plusieurs personnes. Certains ont simplement voulu lui serrer la main, tandis que d'autres, pour les plus audacieux, lui ont demandé de faire un selfie. 

François Hollande en excellente compagnie

Le président de la République a profité de son déplacement à New-York pour assister à la foire française où il a rencontré un groupe de jeunes filles danseuses de french cancan. Après l'effort, le réconfort comme on dit ! 

Alexandre Loukachenko a sacrément rajeuni !

En voilà un qui ne manque pas d'air : le président biélorusse Alexandre Loukachenko, interdit de séjour aux Etats-Unis, a décidé de se faire représenter par son fils. Sauf que ce dernier est âgé de seulement 11 ans. Déjà un surdoué de la politique internationale? 

Le président du Kazakhstan en panne d'interprête

Le chef d'Etat kazakh, Noursoultan Nazarbaïev en a étonné plus d'un en choisissant de s'exprimer dans la langue de son pays et non en russe, comme il le fait d'habitude. Sauf qu'il s'est heurté à un défaut d'organisation : personne n'avait prévu qu'il fasse son discours en kazakh (qui est pourtant la langue d'Etat, le russe étant la langue officielle de communication) et le président a dû parler durant 5 minutes sans interprête.