«Il faut parler avec de nombreux acteurs, et cela implique Assad, mais il y en a d'autres», a souligné la chancelière allemande à la fin d'un sommet extraordinaire des pays-membre de l’UE à Bruxelles, dont le sujet était la crise de migrants en Europe.
En savoir plus : Syrie : pour l'Autriche, Assad fait bien partie de la solution
Alors que la Russie appelle à former une coalition internationale pour lutter contre les terroristes de Daesh, Angela Merkel a insisté sur l’importance du dialogue non seulement avec les Etats-Unis et la Russie, mais aussi avec les partenaires régionaux importants, l'Iran, mais aussi des pays sunnites comme l'Arabie saoudite», tandis que le chef d’Etat français refuse toujours de considérer Bachar el-Assad en tant qu’interlocuteur.