Début septembre, Carrie Lam, chef de l'exécutif hongkongais pro-Pékin, avait annoncé qu'elle allait définitivement retirer son projet de loi controversé sur les extraditions vers la Chine. Néanmoins, les manifestants anti-gouvernement font toujours valoir leurs «cinq exigences majeures», parmi lesquelles l'introduction du suffrage universel.