Elles s'appellent Emilie, Hayat, ou encore Cassandra, et elles ont tout quitté pour rejoindre l'organisation terroriste Etat islamique (EI)...
Parmi elles, en 2017 : 300 djihadistes françaises seraient présentes en Syrie et en Irak. Certaines sont devenues recruteuses pour Daesh, d'autres ont intégrér la police de l'organisation, pour appliquer, par exemple, des sanctions telles que la flagellation. RT France dresse le portrait de ces femmes qui, souvent, ont quitté leur famille de leur plein gré pour rejoindre l'Etat islamique.