Sur la question des accusations d'utilisation d'armes chimiques en Syrie, le gouvernement français s'en tient à la «ligne rouge» tracée par le candidat Emmanuel Macron, rappelée par le président de la République à Versailles en mai 2017 et martelée encore ce 13 février. «Si [la France] a des preuves avérées que des armes chimiques proscrites sont utilisées contre les civils [en Syrie par le gouvernement], nous frapperons», a-t-il réaffirmé.
Pour autant, les allégations occidentales s'appuient sur les déclarations des Casques blancs, ONG controversée, et de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), tout est aussi controversé.