Selon Eisa Tahhann, une habitante d’Alep, «les gens recommencent à sentir l’atmosphère du ramadan de la même façon qu’avant la crise». Une autre syrienne, Um Marwan, a constaté que la situation s’était améliorée et que le ramadan ressemblait plus à ce qu’il était avant la guerre. «Dieu nous a soulagé», a-t-elle ajouté.
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