Il s'appelle Brayan Bremer, et il était détenu pour vol dans l'établissement pénitentiaire de Manaus.
Après la mutinerie qui a causé la mort de 56 détenus le 1er janvier 2017 lors de règlements de comptes, certains ayant même été décapités, Bremer s'est réfugié comme dans la forêt amazonienne, dont la ville de Manaus est la porte d'entrée.
Caché par la végétation, il nargue depuis la police et célèbre sa liberté retrouvée.
Après l'émeute spectaculaire et meutrière, 144 détenus se sont évaporés dans la nature.