Zakaria Malahifji, du groupe rebelle Fastiqim, a affirmé que ses hommes avaient «commencé une action militaire», affaiblissant d'autant plus une trêve déjà fragile.
Un accord avait été trouvé entre belligérants le 13 septembre au soir pour permettre l'évacuation des civils, mais aussi des combattants qui seraient autorisés à rejoindre la ville d'Idlib.
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