D’après le ministère de la Justice d'Arabie saoudite, six cas de harcèlement sont signalés chaque jour, mais la plupart des femmes préfèrent ne rien dire de peur d'être pointées de doigt.
Un projet de loi visant à punir les prédateurs sexuels a été soumis en 2014, mais n'a jamais été adopté, bien que l'Arabie saoudite ait récemment été réélue membre du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU.