Le correspondant de RT, Mourad Gazdiev, a parlé aux habitants de la ville assiégée pour qui la vie sur la ligne de front est devenue beaucoup trop pesante au quotidien.
«Nous ne partirons pas d’Alep quoi qu’il arrive. Nous sommes fiers de rester ici, dans notre patrie», a confié l’un d’eux.
Certains s’enfoncent davantage dans la ville en quête d’endroits moins dangereux, mais ils ne peuvent plus pour autant se sentir en sécurité parce que «des bombes et des roquettes tombent partout».
D’autres fuient Alep.