Constantin a retrouvé son foyer après trois ans de «captivité», un mot qu’il évite pourtant de prononcer, lui préférant celui de «voyage» et remerciant tous ceux qui l’ont soutenu. «Je vais travailler pour le bien de notre pays. J’ai ramené de Syrie des projets, des idées qui aideront notre pays. Je crois que mon voyage a été réussi», a-t-il déclaré. Aucun commentaire n’a été fait sur les conditions de sa détention ni sur la façon dont il a recouvré la liberté.