«C’est la Coupe du Monde de fraude et aujourd’hui nous montrons une carte rouge à la FIFA»,- a dit Richard Weber le chef de l’enquête pénale de l’Internal Revenue Service, en ajoutant que le FBI coopérerait avec tout les partenaires internationaux dans l'enquête de l'affaire.
Le sujet principal auquel touchait l’investigation de FBI, porte sur l’activite de la FIFA, aussi bien que des fédérations américaines CONMEBOL (La Confédération sud-américaine de football) et CONCACAF (La Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes ), au cours des 20 dernières années. Les schémas frauderais ont été présentés lors de la conférence de presse qui prouveraient le fait du blanchiment d’argent, des matches arrangés et la vente du droit commercial par des haut fonctionnaires de football. La question de l’élection de la République de l’Afrique du Sud comme un organisateur de la Coupe du monde 2010 est devenue aussi pointue.
D’après le Département de Justice, l’ampleur des opérations illégales étaient immenses. Loretta Lynch, le procureur général des États-Unis , a même annoncé que “de nouveau défendeurs pourraient paraître dans ce dossier”. Suite à cette déclaration, la question apparente concernant le destin de Sepp Blatter, le président de la FIFA, n’a pas touché par les arrestations de ce matin, est née de la part des journalistes. Mais Mme Lynch a répondu qu’elle “ne pouvait pas faire des commentaires sur le statut de M.Blatter”. Quand-même , on a indiqué que la punition la plus sérieuse par rapport à ce dossier pourrait constituer 20 ans.