Le concept, présenté pour la première fois à Toronto au Canada en 2013 au festival d’art et jeux vidéo Vector, est désormais totalement opérationnel et permet ainsi de jouer à toutes sortes de jeux, y compris ceux complexes comme «Dead Or Alive» (un jeu de combat en 3D).
Alors que la manette pourrait facilement valoir aux créateurs d'être taxé de sexisme, entérinant le cliché que les jeux vidéos sont un divertissement masculin et macho, les intéressés affirment au contraire avoir inventé cet appareil pour dénoncer la chosification de la femme et le sexisme dans le monde du Gaming.
Dans «Dead or Alive», par exemple, les femmes ont d'énormes poitrines. Ils expliquent qu’en utilisant le soutien-gorge/manette, les joueurs pourront tenir de vrais seins de taille réelle. Par ailleurs, il existe aussi la version homme, afin que chacun puisse y trouver son compte et qu'une telle machine ne soit pas réservée à un seul sexe.