«L'interdiction concerne la diffusion en direct d'images du lieu de l'attentat, d'animations sur le moment de l'explosion et de ses conséquences, victimes comprises», a déclaré à l'agence russe RIA Novosti un représentant du conseil.
Les médias rapportent que l'interdiction s'étend également aux informations publiées par les journalistes sur les réseaux sociaux.
Le 17 février au soir, un attentat à la voiture piégée contre un convoi militaire a fait au moins 18 morts et 45 blessés dans la capitale turque. D'après d'autres sources, le bilan pourrait s'élever à 21 morts.
Le gouverneur d'Ankara a fait savoir que l'explosion s'était produite dans une rue, à proximité d'un foyer militaire dans le centre-ville. Il s'agit d'un quartier situé non loin du parlement turc et d'autres bâtiments administratifs.