Les entretiens sur la Syrie qui se tiennent à Munich ont été organisés à la suite de l'échec des négociations à Genève où le groupe international de soutien à la Syrie (ISSG), le gouvernement syrien et l'opposition syrienne étaient censés trouver un moyen de sortir le pays de l'impasse. Les négociations doivent reprendre le 25 février ou, même, plus tôt. Les positions des principaux acteurs n'ont toutefois pas encore évolué.
La réussite principale des négociations de Genève, c’est qu’elles ont permis d’asseoir à la même table les représentants de l’opposition syriennes et ceux du gouvernement pour négocier. Les groupe radicaux comme Daesh et le Front Al-Nosra n’étaient pas présents. Les Kurdes non plus, à cause des fortes pressions exercées par la Turquie.