Cette autorisation concerne l'utilisation de la méthode Crispr-Cas9, qui permet de cibler les gènes défaillants dans l'ADN afin de les neutraliser plus précisément. Il s'agit d'une des toutes premières autorisations de manipulation d'embryons humains, après une première tentative chinoise au début de l'année 2015.
Les scientifiques espèrent découvrir les origines de la vie humaine.
Le scientifique principal du projet, Kathy Niakan, a déclaré, au début de l’année dernière, que l’usage des embryons humains génétiquement modifiés permettrait de comprendre les problèmes de la fausse couche et de la stérilité.
«Nous voulons comprendre de quels gènes l’embryon a besoin pour se développer en un bébé sain», a-t-elle conclu.