Après plusieurs jours de débats, la proposition a finalement été abandonnée : il reviendra à chaque Etat de décider la limite d'âge imposée pour permettre aux mineurs d'accéder aux réseaux sociaux.
Le Royaume-Uni a ouvert le bal, précisant qu'il n'élèverait pas l'âge minimum pour accéder aux services en ligne, ce qui signifie qu'il sera toujours possible pour les enfants de 13 ans et plus d'y avoir accès sans accord parental.
Si la proposition avait été adoptée, elle aurait interdit l'accès à des services hautement populaires tels que Facebook, Snapchat et autres réseaux sociaux.
L'intense campagne de lobbying des sociétés concernées semble avoir porté ses fruits.