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Biden se dit prêt à donner des discours publics pour une rémunération... de 300 000 dollars !

Selon le New York Post, Biden, qui a l'espoir de tirer parti de son expérience accumulée pendant ses années à la Maison Blanche, est confronté à un manque de propositions d'intervention rémunérée. D'après des sources proches de l’ancien dirigeant américain, le tarif de Biden est 300 000 dollars par intervention.

L'ancien président américain Joe Biden, qui a récemment quitté ses fonctions, semble éprouver des problèmes pour obtenir des contrats de discours, malgré un tarif demandé de 300 000 dollars par intervention. Selon des informations révélées par le New York Post, les agents de l’ancien président ont du mal à convaincre les organisateurs d’événements de lui réserver des prestations.

Des sources indiquent que plusieurs événements prévus ont été annulés ou reportés, ce qui pourrait suggérer une baisse d'intérêt pour les discours de l'ancien président. Les organisateurs citent un manque d'appels pour réserver le service de Biden, contrairement à d'autres figures politiques ou célébrités qui continuent d'attirer des foules.

Les allocutions publiques après la fin du mandat sont une pratique répandue aux États-Unis. En comparant les prix des anciens présidents, on voit que Joe Biden demande 25 % moins que Barack Obama qui avait demandé lorsqu'il a quitté ses fonctions en 2017 (400 000 dollars). Mais si Obama était célèbre pour ses discours remarquables, il s'avère que peu de gens oseraient payer des centaines de milliers de dollars pour écouter les fameux lapsus et les bégaiements de Joe Biden. 

Les Démocrates inquiets que Biden peut ruiner leur image sur la scène 

Selon des sources proches de l'ancien président Joe Biden, toujours révélées par le New York Post, des membres influents du parti démocrate lui conseillent de limiter ses apparitions publiques afin de préserver l'image du parti. Michael LaRosa, ancien directeur de communications de Jill Biden, a exprimé des inquiétudes quant à l'impact négatif de la présence de Biden sur la scène médiatique.

« J’aime profondément les deux Biden, mais la loyauté envers le personnel signifie qu'il est de notre devoir de les informer honnêtement de la situation, surtout quand il s’agit de leur image publique, aussi blessant que cela puisse être à entendre », a-t-elle conclu.