«Ali Boumendjel ne s’est pas suicidé. Il a été torturé puis assassiné.» Auprès de sa famille d’abord puis par un communiqué de presse envoyé le 2 mars dans la soirée, Emmanuel Macron a reconnu la responsabilité de l’armée française dans l’assassinat de cet ancien avocat et militant algérien, décédé en 1957 à l’âge de 37 ans. Sa mort avait alors été maquillée en suicide.