Le chef Stéphane Turillon avait annoncé vouloir rouvrir son établissement (dans le département du Doubs) le 1er février pour défendre son «droit à travailler», appelant ses collègues à l'imiter. Mais du fait des menaces de sanctions pécuniaires importantes, et donc du risque de déposer de bilan, celui-ci y a fini par renoncer.
Randall Schwerdorffer, avocat du restaurateur, était invité à commenter cette décision. Il explique également les raisons qui ont poussé le chef Stéphane Turillon à appeler à la «désobéissance civile».