Dans le cadre de la recherche du départ de l'incendie qui a touché le site industriel de Lubrizol en 2019 à Rouen, des experts mandatés privilégieraient l'hypothèse d'«un départ sur l'emprise de la société Lubrizol, au niveau du stock de produits finis longeant le mur mitoyen au nord-ouest du bâtiment T3» de ce site pourtant classé Seveso. Et ceci contrairement aux affirmations de l'entreprise, selon les conclusions du rapport dont l'AFP a obtenu une copie.
Simon de Carvalho, président de l'association des sinistrés de Lubrizol, commente, pour RT France, ces nouveaux éléments du dossier.