«C’est un camion de la ville de Paris qui a perdu le contrôle et qui est rentré de plein fouet dans le carré. Ça s’est passé lundi après-midi dernier [le 20 mars] et non jeudi [le 24 mars] comme l’affirment certains. Il ne s’agit pas d’un acte de vandalisme ou d’antisémitisme», a rapporté Chantal Benhamou, directrice de l’entreprise de pompes funèbres du même nom, au journal Times Of Israel.
La responsable s’exprimait au sujet de la dégradation de 13 tombes du carré juif du cimetière de Pantin, après qu’un blog communautaire juif, EuropeIsraël, avait publié un article intitulé Des dizaines de tombes juives ont été détruites et/ou vandalisées au cimetière parisien de Pantin. Dans celui-ci, il était dit que la thèse d’un accident de la route était «loin d’être convaincante». Et pourtant, c’est bien la conclusion à laquelle sont arrivés les enquêteurs.
La mairie de Paris dédommagera les familles des proches dont les tombes ont été touchées.
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