France

Caroline Fourest à nouveau prise en flagrant délit de mensonge pour un tweet sur Valls ?

Déjà blacklistée par Laurent Ruquier qui l'accuse d'avoir menti sur une de ses condamnations, l’essayiste féministe a été épinglée par une journaliste après avoir prétendu qu’elle ne savait pas d’où venait une publication… qu’elle avait publiée.

Invitée sur le plateau de la chaîne LCI le 26 janvier, Caroline Fourest s'est exprimée à propos d’un tweet dans lequel elle indiquait partager la vision de la laïcité défendue par Manuel Valls.

Mais après la lecture de son post par la journaliste Audrey Crespo-Marat, l’essayiste française a nié en être l’auteur, lançant : «Je ne sais pas de quoi vous parlez mais c’est pas grave […] Je ne sais pas d’où sort ce tweet mais c’est pas grave !»

Dès la fin de l’émission, la journaliste a partagé sur Twitter la publication datée du 3 janvier que son invitée avait prétendu quelques minutes plus tôt «n'avoir jamais écrit».

Piquée au vif, cette dernière s’est justifiée par tweet interposé, assurant qu’elle était «mal réveillée». «J'ai juste pas reconnu vu la façon dont tu l'as [sic] lu (hors contexte, c'est-à-dire le résumé d'un débat...)», a poursuivi Caroline Fourest.

Ce n’est pas la première fois qu’un passage télévisé de l’essayiste suscite la polémique. En mai 2015, invitée sur le plateau de l’émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier, elle avait assuré avoir été innocentée par la cour d’appel dans une affaire de diffamation. Après avoir pris le soin de vérifier, l’animateur l’avait accusée d’avoir «menti», promettant de ne plus l’inviter.

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